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Marion, diabétique de type 1 depuis l’enfance, raconte comment sa maîtresse d’école a suspecté
la maladie lorsqu’elle avait 7 ans. Après une adolescence marquée par un rejet de la maladie
et des interruptions de traitement, Marion prend conscience de l’importance de sa santé lors
de sa première grossesse à 20 ans. Aujourd’hui maman de deux enfants, elle élève aussi
un fils, lui-même atteint de diabète de type 1, diagnostiqué à 18 mois.
Wilfried, adhérent de l’association, parle de sa découverte du diabète de type 1 à l’âge de
12 ans, en 1997. Après des années de gestion difficile durant son adolescence, marquées par
un refus de la maladie et un déséquilibre glycémique, il adopte la pompe à insuline à 20 ans
suite à une hospitalisation. Il revient sur les risques ignorés à l’époque, notamment l’absence
de symptômes en hyperglycémie, qui l’ont conduit à minimiser la gravité du diabète.
Audrey, mère d’un petit garçon de 7 ans, témoigne de la découverte tardive du diabète de type 1
de son fils, diagnostiqué après une longue errance médicale. Face à la détérioration de l’état
de son enfant (amaigrissement, fatigue, pipi au lit), plusieurs médecins minimisent les
symptômes. C’est aux urgences qu’un taux de glycémie très élevé est enfin détecté.
Doriand, jeune champion de cyclisme, témoigne de sa vie avec un diabète de type 1 diagnostiqué
vers 2020. Il explique à travers on témoignage comment il adapte ses doses en fonction de ses
entraînements intensifs (2 à 5 heures de vélo par jour), et comment il ajuste son alimentation
pour éviter les hypoglycémies.